L'énurésie nocturne a commencé après le divorce de mes parents. Au début, ma mère avait fait preuve de compréhension. Mais à mesure que la fréquence d'un lit mouillé augmentait, la gêne augmentait également. Un jour, elle a décidé de me remettre une couche la nuit. Elle a mis un pantalon en plastique à l'ancienne sur la couche. Cette action n'a pas abouti au résultat escompté. Au contraire. Depuis cette mesure, je me réveille chaque matin avec une couche mouillée.

« L'e n f a n t dans l'homme est souvent reconnu par les femmes mais les hommes nient son existence. Vous en avez marre ? Envoyez-nous votre mari ou votre fils. Nous assurerons un traitement approprié après consultation avec vous. Veuillez nous contacter pour plus d'informations ».

Ma mère me montre cette publicité après que je me sois de nouveau réveillée un matin avec une couche mouillée. «Je les ai contactés et j'ai accepté que vous alliez les voir pour un traitement. Vous gardez la couche pour qu'ils puissent déterminer à quoi devrait ressembler votre traitement pour un jeune de 18 ans. Bien sûr, j'ai protesté et même refusé. Mais quand ma mère a menacé de mettre des photos de moi en couche sur Internet, ma résistance s'est brisée.

Maintenant, je me tiens devant la porte, la cloche sonne toujours. J'entends un bruit sourd à la serrure puis la porte s'ouvre en claquant. Une jolie femme vêtue d'un air de défi dans une jupe courte et des chaussures à talons hauts m'accueille.

• Votre mère a déjà annoncé votre arrivée par téléphone. Elle dit que vous coopérerez volontairement.

Je ne sais pas quoi dire et je hoche la tête quand je remarque qu'elle attend une réponse.

Son regard parcourt mon corps et s'arrête à la hauteur de mon entrejambe. « Avez-vous toujours la couche ? » elle me sourit. Je hoche la tête à nouveau. Elle fait un pas en avant et sent mon entrejambe alors qu'elle me regarde droit dans les yeux. Je me sens honteux. Dommage qui s'est encore accru lorsqu'elle a déboutonné mon pantalon et l'a baissé.

Là, je me tiens sur le seuil de la maison avec ma couche et mon pantalon en plastique, mon pantalon pend à mes chevilles. Je regarde autour de moi avec anxiété. Heureusement la maison est assez isolée et je ne vois personne d'autre.

• Bébé peut passer à autre chose !

Pour me mettre à l'abri des regards des passants, je la suis au plus vite.

• Je ne suis pas un bébé madame !

• Je m'appelle Isis et tu es bébé !

Elle se sent à nouveau dans mon entrejambe. « Les bébés font pipi dans leurs couches et qu'avez-vous fait ? » Sans attendre ma réponse, elle me somme de la suivre. Par une cuisine, nous entrons dans le salon. C'est difficile avec mon pantalon aux chevilles.

• Je m'occupe de toi aujourd'hui ! rigole Isis tandis que son regard est sur mon entrejambe.
• Je n'en ai pas besoin? J'essaie à nouveau de sortir de la situation.

Une claque sur mon cul est le résultat. Le bruit sourd résonne dans la pièce. "Tu es habillé pour ça autrement!" Pendant la journée, je n'ai pas... » Je ne vais pas beaucoup plus loin dans ma réfutation. Encore une fois, la pièce est remplie du bruit sourd de gifles sur mon fessier.

• Il fait jour maintenant et qu'est-ce que tu portes ?

La couche est tâtée pendant qu'Isis fait des remarques désobligeantes. Complètement submergé par la honte et la peur, j'ai laissé faire.

"Notre beau gosse en Pampers!" Isis se moque de moi alors qu'elle me déshabille à l'exception de ma couche. Le pantalon en plastique est descendu jusqu'à mes chevilles. "Vous pouvez choisir d'avoir une couche propre comme un bébé ou un costume moulant pour vos fesses comme un homme. Si vous commencez à gémir et à pleurnicher, vous aurez toujours une couche ! dit-elle alors que sa main caresse la couche.

• Combien de coups ? je demande anxieusement.

Isis se met à rire. « Si vous voulez savoir, comptez-les ! Je ne pense pas que le nombre soit important. J'arrêterai quand je pense que ça suffit.

Isis libère les bandes adhésives de la couche. Celui-ci tombe par terre.. "Vous pouvez la ranger lorsque vous demandez une couche s'il vous plaît!"

Je dois ramasser la couche et la plier. Isis m'emmène dans la cuisine où je dois jeter la couche dans une poubelle. Le pantalon en plastique qui pend à mes chevilles m'oblige à faire de petites passes. Au comptoir mon cul et ma bite sont lavés à l'eau froide. Puis suit le chemin du retour à la salle.

Isis s'assoit et me dit de m'allonger sur ses genoux. À contrecœur, je me conforme à l'ordre. C'est étrange d'être si nu avec seulement un pantalon en plastique aux chevilles. Étrange, humiliant mais aussi excitant. Mais après quelques coups, cette excitation est partie. Garçon, est-ce qu'elle frappe fort et longtemps. Juste au moment où j'envisage d'opter pour une couche, elle s'arrête et je dois me lever.

Je pousse un soupir de soulagement. Content de m'en être sorti. Malheureusement, je suis heureux avec un oiseau m o r t . Isis s'est également levée.

« A quatre patte ! me commande Isis en s’asseyant sur mon dos. Elle caresse mes fesses. Puis il y a un autre tap et un autre et encore........ "aïe" Les coups se succèdent dans des tempos variables.

« Aïe ! » désolé en vain. "Ce ne sont pas les mots justes chérie !" J'entends Isis dire. Elle arrête de fesser un instant et me caresse à nouveau les fesses. J'ai du mal à garder mes yeux secs. "Alors non!" Je l'entends dire alors qu'elle recommence à claquer mon cul. Comme un petit e n f a n t . Isis me tient dans ses bras tandis que ses mains procèdent sans délai au châtiment.

"Stop STOP!" Je renifle. « Tu sais quoi demander, chérie. Est-ce si difficile ?” Isis lui lance un autre tambour. La douleur l'emporte sur ma honte. « Voulez-vous s'il vous plaît me mettre une couche ? » Isis arrête aussitôt de frapper et me caresse joyeusement les fesses. Agenouillez-vous devant moi et embrassez mes pieds !

Les larmes aux yeux, je m'agenouille devant Isis. J'embrasse ses pieds.

« Oh, mon bébé ne veut-il pas une couche ? Isis rit et me presse de lui embrasser les pieds avec plus de dévotion. Elle s'assoit et enlève ses chaussures. Invitante, elle met le pied en avant. Je prends son pied dans ma main et embrasse tendrement ses orteils et le reste du pied. Une sensation étrange s'empare de moi.

« Être un bébé vous convient beaucoup mieux que l'a d o l e s c e n t dur que vous pensez normalement que vous devriez être ! » Isis rit. Je ne comprends pas ce qu'elle veut dire. « Bientôt, tu pourras aussi embrasser mes jambes et mes fesses, mais mets d'abord une couche ! Avant de me mouiller le sol. Ajoute Isis en se levant et en souriant en me caressant la tête. Elle prend visiblement plaisir à me contrôler ainsi.

On me dit de ramper dans la pièce du fond. Mon cul brille. Ramper est rendu plus difficile par les pantalons en plastique qui sont toujours autour de mes chevilles. Il y a une serviette de bain sur la table. Isis l'étale sur la table et frappe la serviette de sa main plate en m'invitant à m'allonger sur la table. C'est une table assez longue, mais je ne m'adapte pas tout à fait dessus.

• Relevez vos genoux comme si vous étiez déjà en position couche !

La position dans laquelle je suis est embarrassante. Mon cul et mon entrejambe ne sont pas protégés, donc clairement visibles. Isis se met à rire. "Tu peux dire par cette petite bite que tu es encore un bébé!" Elle vient au pied du lit et attr a p e ma bite. Elle le masse doucement. Je soupire et réponds à son toucher.

• Je pense que tu aimes porter des couches, dit-elle en interrompant son massage et en prenant le sac de couches. Isis étudie longuement les couches pour voir comment les mettre sur moi. Je regarde autour. La table est devant une fenêtre et je regarde dans le jardin. Le jardin est entouré d'arbustes et d'une clôture. Il y a aussi une maison de l'autre côté de la clôture.

Le premier étage est bien visible. Je suis choqué quand, à ma grande horreur, je vois une femme debout à la fenêtre. Il est évident qu'elle nous regarde. et voir tout ce qui se passe ici. Je regarde Isis avec anxiété. Elle voit mon regard puis regarde dehors. "Ha Luna en profite aussi!" Isis sourit et fait signe à la femme de lui répondre. Isis lui fait signe de venir. Je la vois reculer vers la fenêtre. "S'il te plaît Isis..." je la supplie. Isis se contente de sourire.

• C'est ma petite amie. Elle a souvent vu des bébés avec des couches.

Elle pose son doigt sur mes lèvres, me faisant signe de me taire. Je dois lever mon cul. Elle glisse une couche sous moi. Puis elle tourne le couvercle d'un bocal et la pièce s'emplit de l'odeur du baume du tigre. Isis lubrifie mon anus et la bite avec. Une sensation de brûlure irritante en conséquence. Puis elle m'asperge de talc et referme les bandes adhésives. A cause de la sensation de brûlure, je ne peux pas rester immobile. Ce qui m'amène à une sévère réprimande.

Je dois rester debout. Satisfaite, Isis vérifie son travail. Elle passe un doigt le long des cotés pour voir s'ils sont bien ajustés. Puis elle s'agenouille et remonte mon pantalon en plastique. Au même moment, le portail s'ouvre et la femme que je viens de voir debout devant la fenêtre entre dans le jardin. Curieuse, elle reste un moment devant la fenêtre et fait un commentaire sur moi. Puis elle entre : « Bébé, c'est mon amie Luna. Je dois partir bientôt et elle reprend mon travail. Tu peux embrasser le cul de Luna maintenant. rit Isis. Au début, j'ai pensé à une blague. Mais une tape ferme sur mes fesses en couches me fait comprendre que chaque question d'Isis ou de Luna doit être un ordre pour moi.

Docilement, je m'agenouille derrière Luna ; Ses fesses rondes me sourient comme une pleine lune. Je presse mes lèvres contre le tissu de sa jupe.

Les mains de Luna remontent et elle remonte légèrement sa jupe. J'embrasse sa culotte. Le baume du tigre continue de faire son travail. Il faut faire des efforts pour ne pas frotter, mais Isis m'a strictement interdit de me toucher sans permission. Heureusement, la commande de baiser me distrait assez.

• Que lui faisons-nous d'autre ? demande Luna alors qu'elle s'éloigne de moi. Isis hausse les épaules.

• Ça dépend de ce que tu veux faire avec lui. Si vous restez à la maison, vous pouvez lui faire une petite fille. Est-ce que vous lui mettez une robe ou une jupe et peut-il mmmmm, je veux dire qu'ils aident aux tâches ménagères.

Dans une robe pour que tout le monde puisse voir ma couche ?

• Et si je ne veux pas rester à la maison ?

• Peut-il mettre son pantalon et son t-shirt et tu vas au parc pour le changer et ensuite acheter des choses pour le bébé.

Je suis anxieux et j'ai envie de répondre, mais Luna me regarde sévèrement.

• Je veux seulement t'entendre quand on te le demande.
• Il me manque toujours une tétine ! rit Luna. -Vous pouvez l'acheter avec lui plus tard." Isis répond
• Il a dû faire pipi dans son pantalon !
• Il n'a probablement pas fait pipi dans sa couche de nuit ce matin ! Isis me regarde d'un air interrogateur. « Est-ce que notre bébé doit faire pipi ? »

Je hoche la tête de honte. Je ne fais pas pipi dans mon pantalon pendant la journée. Vont-ils me f o r c e r maintenant ?

Isis lui dit qu'elle doit vraiment partir maintenant. Elle me fait un câlin et une tape sur mes fesses. Souhaite beaucoup de plaisir à Luna et elle est partie. Là, je reste seul avec ma couche pour la petite amie d'Isis. Comme Isis, Luna a un look séduisant et charmant. Je ressens la honte de me tenir comme ça devant elle quand j'étais a d o l e s c e n t . Un a d o l e s c e n t habillé et traité comme un petit e n f a n t .

• Allongez-vous sur la table comme si vous aviez une couche propre. » Docilement, je me recouche les genoux pliés. Luna me regarde de haut.

• Pisse dans ta couche bébé !

Je me sens mal. petit et humilié.

• Devrais-je prendre une photo de vous et la mettre sur Facebook ? dit Luna quand j'attends trop longtemps pour exécuter sa commande. Elle met sa main dans mon entrejambe. Maintenant, je ne peux plus du tout faire pipi.
• Tenez-vous dans le coin et restez au sec ! Dit-elle en colère.

J'entends Luna quitter la pièce et revenir quelques instants plus tard. Elle met quelque chose sur le canapé. Puis elle disparaît à nouveau. Je l'entends aller aux toilettes. Quand elle revient, elle s'assoit et m'appelle.

Quand je me tiens devant elle, elle baisse légèrement le pantalon en plastique, puis elle s'accroche à côté de sa chaise et attr a p e un pichet. Je dois rentrer mon ventre et elle tire légèrement le bord de la couche vers elle. Elle verse soigneusement le contenu chaud du pichet dans ma couche.

• Si vous pensez que vous pouvez nous confronter avec votre pipi et ignorer mon ordre de faire pipi, cela vous apprendra. Promenez-vous simplement dans une couche avec mon urine.

En disant cela, elle frotte la couche et constate avec satisfaction qu'elle est bien remplie de son liquide.

« Quelle petite fille tu es aussi ! » Luna prend une jupe sur le canapé et la met sur moi. La jupe est très courte et cache à peine mon fessier. Je dois aussi mettre mon T-shirt, Luna est enthousiaste et relève ma jupe d'un air taquin. Elle me prend la main et me tire vers la fenêtre. « Pouvez-vous atteindre le haut ? Je m'étire. "Oh reste comme ça !" Luna recule de quelques pas. Je vois si quelqu'un peut me voir. « Comme cela vous semble drôle ! » J'entends Luna rire.

Comme attiré par un aimant, je regarde effrayé le portail du jardin. Je vois deux femmes se profiler. Un plus vieux et un jeune. Le jeune homme se penche pour ouvrir le portail. Surpris, je recule. Luna voit ma réaction et regarde avec curiosité. « Voilà encore les porteurs de la vraie foi. » elle soupire.

Puis elle rit comme si elle avait un petit rire. « Euh, va t'allonger sur la table. Enlevez la jupe et une couche propre à la main. Elle quitte la pièce. Je fais ce qu'on me dit. Parce que le bord supérieur de la jupe est en élastique, je peux facilement l'enlever. J'attr a p e une couche et m'allonge sur la serviette qui est toujours sur la table. J'attends patiemment l'arrivée de Luna. Contente qu'elle ne me laisse pas dans la couche qu'elle a mouillée.

J'entends un grondement et quand la porte de la chambre s'ouvre, Luna entre avec les deux femmes. « Ah mon Dieu, voulez-vous tellement une couche nettoyée à sec que vous vous êtes déjà allongée sur la table ? » Luna me caresse la tête et me sourit.

• Il faut être patient encore un peu. J'ai d'abord promis le café aux dames. Peut-être qu'elles aimeraient vous changer en attendant ? La poudre de talc est dans le sac en plastique.

Sans attendre de réponse, Luna disparaît dans la cuisine, laissant les deux femmes derrière avec stupéfaction. Je leur jette un coup d'œil. Les femmes s'approchent prudemment.

• Pouvons-nous vous changer ? demande l'aîné. J'acquiesce timidement.

Avec hésitation, la femme enlève mon pantalon en plastique.

• Quel joli pantalon en plastique démodé vous avez encore. Vous ne les voyez plus beaucoup.

Elle prend le talc puis la couche de ma main. Elle ouvre les bandes adhésives et retire la couche de dessous moi. Le plus jeune suit la scène avec intérêt. Un sourire sur ses lèvres trahit qu'elle pense que c'est ridicule.

• Pourquoi un grand type comme toi porte-t-il toujours une couche ? demande la femme la plus âgée en glissant la couche propre sous moi.

Luna entre dans la pièce avec le café " Pour la punition ! Leur dit-elle. « Il mérite une punition. C'est pourquoi il a ces belles fesses rouges."

• Châtiment ? pour quoi alors ? demande le plus jeune.

• Monsieur fait pipi au lit quand il a bu de la bière. Nous avons convenu qu'il doit mettre une couche avant d'aller dormir. Il ne l'a pas fait avant-hier, mais il a pissé sur le lit. Maintenant, il doit porter une couche pendant 3 jours en guise de punition.

La femme a remis le pantalon en plastique autour de mes chevilles. Je dois me lever et elle remonte le pantalon plus loin.

• Il accepte ça ? Luna rit de cette réaction.

• Il aime faire exactement ce que je dis !

La femme regarde Luna comme si elle voyait de l'eau brûler. Luna me regarde et m’ordonne : « Pipi » !

Malgré la présence des deux femmes, j'arrive maintenant à vider ma vessie. Bientôt la couche est mouillée et lourde. « Je pense que vous nous avez manipulées ? » La femme la plus âgée commence à se mettre en colère. « Un peu comme tu essayais juste de m'appeler à la porte…. Luna ne va pas plus loin.

La femme se dirige vers la porte. "Partons Rebecca!" sans un autre mot, ils sortent de la pièce. Un instant plus tard, je les vois marcher dans l'allée du jardin. Luna revient dans la pièce en riant. "Vous n'avez pas de chance!" Elle s'assoit. Ce genre de femmes me démange toujours les mains. J'aurais préféré les mettre sur le genou. Mais malheureusement… »

Elle prend ma main et me tire sur ses genoux. Avec un remorqueur ferme, elle tire légèrement la couche et le pantalon en plastique vers le bas. Elle frotte mon cul nu. Ensuite, il y a des coups. Elle fesse fort. "Aïe, aïe" je gémis sans résultats immédiats. Quand les larmes coulent sur mes joues, elle s'arrête. Satisfaite elle me caresse les fesses. Elle gratte aussi mon cul ravagé avec ses ongles. « Allongez-vous sur le sol devant moi !

Je m'allonge docilement, Luna enlève mon tee-shirt. Et puis se rassoit. Je la regarde depuis le sol. Ses belles jambes sont croisées. Une jambe se balance d'avant en arrière avec défi. Puis elle attr a p e son pied et enlève sa chaussure. Son doigt court le long des bords de sa chaussure et du talon haut. Son look est séduisant. Elle presse son pied enveloppé de nylon contre mes lèvres. Je comprends l'allusion et commence à embrasser. Et de lui sucer les orteils.

-Allez jouer avec vous-même avec une main. Mais souviens-toi… ne jouis pas encore !

Bientôt, je dois changer de concentration pour ne pas jouir. Chaque fois que ma main glisse de ma bite à mon ventre, Luna sait que je suis sur le point de jouir.

• D'accord, maintenant vous pouvez venir. Quand tu viens, appelle mon nom. et regarde-moi !

Lentement, ma main se dirige à nouveau vers mon pénis. Mes yeux cherchent le contact avec Luna. Ses yeux pétillent, « Bien, ma chérie. Faites-le pour Luna ! »

Je suis de plus en plus excitée et bien trop tôt je le sens venir. "Lulunaaaaaaaaaaaaaaaaa" Je me noie dans ses yeux alors que tout autour de moi disparaît. Pendant un instant il y a le grand rien……………………Lentement je reprends mes esprits et regarde Luna. Elle sourit joyeusement mais ne dit rien.

Au bout d'un moment, elle dit : « Va prendre une douche tu es redevenu grand » !

werni

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